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Les simulations climatiques de référence pour les territoires d'Outre-Mer sont décrites ci-dessous :
- Simulations SocleOM-2025 - Guyane
- Simulations SocleOM-2025 - Mayotte
- Simulations SocleOM-2025 - La Réunion
- Simulations C3AF-2019 - Antilles
Et les indicateurs :
- Définition des indicateurs Outre-Mer
[Nouveau]
Les simulations SocleOM-2025 - Guyane, 6 simulations globales (GCMs) de dernière génération (CMIP6), ainsi que 3 simulations régionales (RCMs) forcées par les simulations globales CMIP5 (CORDEX-CAM22). Les simulations ont été sélectionnées sur des critères de qualité dans la reproduction du climat de Guyane tout en échantillonnant les changements futurs possibles. En complément de ces simulations issues de projets internationaux, l’ensemble intègre également une simulation réalisée avec le modèle régional CNRM-ALADIN64C1 forcé par le modèle global NorESM2-MM (simulation CMIP6).
- Une descente d’échelle statistique a été appliquée à l’ensemble des simulations climatiques, fournissant ainsi une information climatique à haute résolution (0,025°, soit environ 2,5 km) sur l’ensemble du territoire pour les précipitations et les températures moyennes, minimales et maximales quotidiennes.
- Les scénarios d'émissions de gaz à effet de serre retenus sont : le RCP8.5 pour les simulations CMIP5 (CORDEX-CAM22) et le ssp5-8.5 pour les simulations CMIP6 (GCM et ALADIN). Ce choix a été motivé afin de garantir l’atteinte des différents niveaux de réchauffement définis par la TRACC (jusqu’à +3 °C de réchauffement planétaire).
Les simulations SocleOM-2025 - Mayotte, 20 simulations globales (GCMs) de dernière génération (CMIP6), ainsi que 3 simulations régionales (RCMs) forcées par les simulations globales CMIP5 issues de l'exercice CORDEX-Africa. Les simulations ont été sélectionnées sur des critères de qualité dans la reproduction du climat de Mayotte tout en échantillonnant les changements futurs possibles. En complément de ces simulations issues de projets internationaux, l’ensemble intègre également une simulation réalisée avec le modèle régional ALADIN63 forcé par le modèle global CNRM-ESM2.1 (simulation CMIP6).
- Une descente d’échelle statistique a été appliquée à l’ensemble des simulations climatiques, fournissant ainsi une information climatique à haute résolution (0,025°, soit environ 2.5 km) sur l’ensemble du territoire pour les précipitations et les températures moyennes, minimales et maximales quotidiennes.
- Les scénarios d'émissions de gaz à effet de serre retenus sont : le rcp8.5 pour les simulations CMIP5 (CORDEX-Africa) et le ssp5-8.5 pour les simulations CMIP6 (GCM et ALADIN). Ce choix a été motivé afin de garantir l’atteinte des différents niveaux de réchauffement définis par la TRACC (jusqu’à +3 °C de réchauffement planétaire).
Les simulations SocleOM-2025 - La Réunion, est un ensemble réalisé à partir de 19 modèles de nouvelle génération – CMIP6. Mis en œuvre sur la période historique : 1981-2014 et en période continue 2015-2100 pour 2 voire 3 scénarios d'émission : SSP126, SSP245, et SSP585.
- Les simulations sont corrigées par la méthode CDF-t à partir de la réanalyse produite lors du projet BRIO sur une grille de 0.03 degrés de résolution. 18 simulations sont issues d’une descente d’échelle statistique depuis des GCM et 1 simulation est issue d’une descente d’échelle dynamique de couple de modèles GCM/RCM : CNRM-ESM2.1 / ALADIN63 (simulation qui avait déjà été mis en ligne sous le nom de BRIO-2021)
- Les données brutes de la simulation CNRM-ESM2.1 / ALADIN63 sont toujours disponibles sous le nom "SWIO-2021" pour ‘South-West Indian Ocean’. Ces données sont sur une grille étendue incluant Mayotte, La Réunion, Madagascar, Maurice, ... à 12 km de résolution.
Les simulations C3AF-2019 - Antilles, est un ensemble de cinq simulations réalisées avec le GCM ARPEGE à haute résolution pour chacune des deux expériences historique et future RCP8.5.
La prise en compte des incertitudes en climat futur liées à l’échantillonnage, particulièrement critique pour évaluer l’évolution future des événements extrêmes tels que cyclones, vagues de chaleur ou sécheresses, impose de travailler avec un ensemble de simulations perturbées pour un modèle climatique et un scénario d’émission donné, et de la meilleure qualité possible sur la zone d’intérêt. Ces simulations d’ensemble suivent la même trajectoire climatique mais diffèrent dans la chronologie précise des événements météorologiques grâce à des conditions initiales légèrement différentes, conduisant à une propagation de ces différences sur l’ensemble du globe : c’est le fameux ‘‘effet papillon’’.